
Trouver un emploi en Thaïlande depuis l’étranger : plateformes, réseau et candidature gagnante
Chercher un poste en Thaïlande sans être sur place est possible. La clé : viser les bons secteurs, soigner son profil en anglais et activer les bons canaux de recherche.
Où postuler efficacement
• Portails locaux : JobsDB (offres en anglais), JobThai (beaucoup d’offres locales), WorkVenture (reviews & matching).
• Chasseurs de têtes (profils qualifiés) : Michael Page, Robert Walters.
• Officiel : Smart Job Center (Ministry of Labour, plutôt en thaï).
• Réseau pro : LinkedIn + chambres de commerce (ex. Franco-Thai FTCC, British Chamber BCCT).
Préparer un dossier qui convertit
• CV en anglais (1–2 pages) orienté résultats, fourchette salariale en THB et mention “Employer can sponsor Non-B + Work Permit”.
• Profil LinkedIn optimisé : titre clair (“Senior FP&A | Bangkok/EEC | Visa Non-B sponsor”), compétences, recommandations.
• Lettre de motivation courte, adaptée au marché thaï (polie, factuelle, disponible à une date précise).
• Joindre diplômes/certificats (PDF), portfolio ou GitHub si tech.
Stratégie d’approche
• Ciblez les secteurs qui recrutent les étrangers : tech/ingénierie, finance, vente B2B, hôtellerie haut de gamme, éducation internationale.
• Paramétrez des alertes d’offres (JobsDB/JobThai/LinkedIn) et contactez 2–3 recruteurs par spécialité.
• Participez aux événements FTCC/BCCT et webinaires recruteurs (visio).
• Si short-listé·e : demandez à l’employeur la pré-approbation WP3 et l’appui pour un visa Non-B via e-Visa.
Red flags à éviter
• Offres demandant de travailler avec un visa touriste/DTV : illégal.
• Agences réclamant des frais au candidat.
• Postes interdits aux étrangers (vérifier avant d’accepter).
Timeline réaliste
Sourcing & entretiens : 2–6 semaines. Pré-approbation/visa : 1–3 semaines selon dossiers. Installation : 1–2 semaines (Work Permit, SSO, 90-Day Report).
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